Affrontez vos peurs !
Un jour, dans la savane africaine, un jeune buffle appelé Valentin s’approcha de son père et lui demanda s’il y avait quelque chose dont il devrait avoir peur.
« Seulement des lions », lui répondit son père.
« Ah oui, j’ai entendu parler des lions. Si jamais j’en vois un, je m’enfuirai à toute vitesse », dit Valentin.
« Surtout pas! C’est la pire chose à faire », s’exclama le grand buffle.
« Comment ça? Ils sont terrifiants et ils essaieront de me tuer ! »
Son père sourit et lui expliqua : « Valentin, si tu t’enfuis, les lions vont te pourchasser et ils te rattraperont! Et une fois qu’ils t’auront rattrapé, ils te sauteront sur le dos et te feront tomber à terre. »
« Qu’est-ce que je dois faire, alors ? » demanda Valentin.
« Si tu vois un lion, tu lui fais face, pour bien lui montrer que tu n’as pas peur de lui. S’il ne s’en va pas, montre-lui le bout de tes cornes et piétine le sol de tes sabots. Si ça ne marche pas, avance lentement vers lui. Si ça ne marche pas non plus, charge-le et frappe-le de toutes tes forces ! »
« C’est complètement dingue, j’aurais trop peur de faire ça! Et s’il décide de riposter et de m’atta-quer ? » répliqua le jeune buffle d’un ton inquiet.
« Regarde autour de toi, Valentin, qu’est-ce que tu vois ? »
Valentin se tourna vers le troupeau. Il vit environ 200 gros buffles, tous armés de cornes acérées et d’imposantes épaules.
« Si jamais tu as peur, sache que nous sommes là. Si tu cèdes à la panique et que tu t’enfuis, nous ne pourrons pas te sauver, mais si tu fais face à tes peurs en chargeant l’adversaire, nous serons là, juste derrière toi. »
Le jeune buffle émit un profond soupir et hocha la tête. « Merci Papa, maintenant je comprends. »
Nous avons tous des lions dans notre vie.
Certains aspects de l’existence sont effrayants et ça nous donne envie de nous enfuir, mais si nous fuyons, ils nous pourchasseront sans pitié et nous submergeront. Nos pensées seront dominées par les choses dont nous avons peur, nous deviendrons timorés et nous ne pourrons plus atteindre tout notre potentiel.
Jacques 4.7 nous dit : « Résistez au diable, et il fuira loin de vous. »
Alors affrontez vos peurs. Montrez-leur que vous n’avez pas peur. Montrez-leur que vous êtes fort. Armez-vous de courage et chargez-les avec bravoure, sachant que Dieu est toujours là pour vous soutenir et vous encourager.
Quelles sont les peurs que vous devez affronter en ce moment?
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Prenez courage, tenez bon! Ne craignez rien et ne vous laissez pas effrayer par eux, car l'Eternel votre Dieu marche Lui-même avec vous, Il ne vous délaissera pas et ne vous abandonnera pas. —Deutéronome 31:6 BDS
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Quand vous faites face à vos peurs, elles perdent leur pouvoir. —Mark Burnett
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L’inaction engendre le doute et la peur. L’action engendre la confiance et le courage. Si vous voulez vaincre la peur, ne restez pas assis chez vous à ressassez vos peurs dans votre esprit. Sortez et passez à l’action. —Dale Carnegie (1888–1955)
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Chaque expérience où vous devez affronter vos peurs vous fait gagner du courage et de la confiance. … Vous devez vous forcer à faire ce que vous ne croyez pas pouvoir faire. —Eleanor Roosevelt (1884–1962)
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Faites les choses qui vous font peur et refaites-les encore et encore. C’est encore le meilleur moyen qu’on ait trouvé de vaincre ses peurs. —Dale Carnegie
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Chacun de nous doit affronter ses peurs et y faire face. La manière dont nous traitons nos peurs détermine le chemin que nous prendrons pour le restant de nos jours. Ou bien nous entrerons dans un monde d’aventure ou alors nous n’oserons nous aventurer hors de sentiers battus. —Judy Blume (né en 1938)
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Attendre que le courage vienne n’est qu’une autre forme d’atermoiement. Les gens qui réussissent sont ceux qui passent à l’action quand ils ont peur! —Auteur inconnu
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« J'ai appris que le courage n'était pas l'absence de peur, mais le fait de triompher d'elle. L'homme courageux n'est pas celui qui ne ressent pas la peur, mais celui qui la vainc. » —Nelson Mandela
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La corde ou l’inconnu
Il était une fois un criminel qui avait commis un crime (hé oui, c’est ce que font les criminels, c’est leur occupation !)
Il comparut devant le roi pour entendre sa sentence. Le roi lui donna le choix entre deux condamnations : être pendu haut et court, ou bien aller prendre ce qui l’attendait derrière une grosse porte en fer à l’aspect sinistre.
Le criminel se décida rapidement pour le gibet et la corde. Au moment où le bourreau lui passait la corde au cou, il se tourna vers le roi et lui demanda : « Je suis quand même curieux de savoir ce qu’il y a derrière la porte ? »
Le roi éclata de rire et répondit : « C’est drôle, tu sais…. Je donne toujours le même choix à tous les condamnés, et 9 fois sur 10 ils choisissent la corde. »
« Alors, reprit le criminel, qu’est-ce qu’il y a derrière cette foutue porte? De toute façon je ne pourrai le dire à personne ! » fit-il en pointant du menton la corde autour de son cou.
Le roi prit quelques secondes avant de répondre: "La liberté ! Mais on dirait que la plupart des gens ont tellement peur de l’inconnu qu’ils choisissent la corde immédiatement ! »
J’aime le message de cette histoire. C’est un rappel puissant à tous ceux d’entre nous qui s’accrochent au familier, qui choisissent la familiarité de notre corde : les douleurs auxquelles nous sommes habitués, les conflits, les situations et les schémas connus.
Nous avons peur des alternatives inconnues, qui pourraient cependant nous conduire à la liberté et au bonheur ultime.
Au lieu de marcher avec des cordes méta-physiques autour de notre cou, armons-nous dès maintenant de courage et affrontons nos peurs ! Aujourd’hui, ouvrons avec bravoure ces portes qui nous mènent vers l’inconnu, sachant que nous allons nous diriger vers la liberté, la croissance et une joie profonde.
Ésaïe 41:10-13 (LSG) : Ne crains rien, car Je suis avec toi; Ne promène pas des regards inquiets, car Je suis ton Dieu; Je te fortifie, Je viens à ton secours, Je te soutiens de Ma droite triomphante.
Nous sommes trop nombreux à ne pas vivre nos rêves parce que nous vivons nos peurs.
--Less Brown